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20 août 2014 3 20 /08 /août /2014 10:26
Dans L'Est Républicain de ce matin...

Dans L'Est Républicain de ce matin...

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 10:04

Ben, mon petit, rien de mieux pour te répondre que de relire la page de mon vieux missel que mon parrain m'avait offert à ma 1ère Communion et que je viens de retrouver... Alors, voyons, allons à la page du 15 août...

Dis, Papy, mais c'est quoi la fête du 15 Août ?...
Dis, Papy, mais c'est quoi la fête du 15 Août ?...

Voilà... Regarde aussi, mon petit, cette vieille image que je viens également de retrouver,  celle de la 1ère pierre de l'église Notre Dame des Pauvres au Haut du Lièvre bénie par Mgr Pirolley, et où nous avions assuré, nous, les petits séminaristes de Renémont, dirigés par l'Abbé Matte, les chants de la cérémonie...

Dis, Papy, mais c'est quoi la fête du 15 Août ?...
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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 00:00
Venez donner votre sang mardi 19 août Salle du Parc
Venez donner votre sang mardi 19 août Salle du Parc
Venez donner votre sang mardi 19 août Salle du Parc
Venez donner votre sang mardi 19 août Salle du Parc
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29 juillet 2014 2 29 /07 /juillet /2014 00:15

Je sais, c'est les vacances, et pendant les vacances, on n'a pas trop envie de parler politique... Bon, moi, je veux bien, mais pendant les vacances, la vie continue, et la politique, c'est la vie de la cité... J'ai trouvé très intéressants les 4 articles publiés ici et là sur celui qui synthétise encore aujourd'hui le mieux mes idées...

D'abord, dans le Journal du Dimanche de cette semaine...

D'abord, dans le Journal du Dimanche de cette semaine...

François Bayrou, le perdant magnifique

DES HAUTS ET DES BAS - Le président du MoDem et maire de Pau, François Bayrou, a connu des ascensions fulgurantes et des traversées du désert. Au-delà de la politique, il a toujours voulu que la vie continue.

Deux mains sur une tombe. Il s'attarde longuement, dans les cimetières juifs, sur les tombes des Cohen, où figurent deux mains bénisseuses, signes de protection. Il parle, souvent, de chance. La grande bibliothèque de son bureau parisien de la rue de l'Université est en désordre mais, quand il voudra faire référence à un ouvrage sur Péguy, il réussira à l'extraire d'une longue pile. François Bayroun'a pas varié, au cours des années, dans ses passions littéraires. "Si j'ai tant aimé Péguy parlant de l'argent, c'est que sa colère résonnait en moi, comme en résonance à une vérité intérieure. On aime assez souvent ce que l'on est. Les choses aimées préexistent dans les plis profonds de notre personnalité. On ne change pas, on ne change que dans le sens de ces plis profonds." Il a cru, durant la première partie de sa vie, que la lutte était loyale et que l'on pouvait accéder au cœur du pouvoir sur ses seuls mérites. Il ne le croit plus. Les réseaux sont trop nombreux. La chance forge, simplement, des exceptions. François Bayrou a connu en politique des défaites cinglantes et des retours victorieux. "La réussite est nécessaire car elle ouvre la possibilité de faire, d'agir, de créer. Mais l'insensibilité à l'échec est une liberté. L'indifférence à l'échec vous délivre de l'obligation de plaire." Ceux qui le soutiennent disent : il ne change pas. Ceux qui s'en détournent disent : il ne change pas. François Bayrou est resté attaché au village où il est né, Bordères (Pyrénées- Atlantiques), et il possède un fort sentiment de classe sociale.

Il est fils d'exploitants agricoles. La maison de son enfance est envahie de livres. François Bayrou lit durant la journée et une partie de la nuit, durant l'année et en vacances. Il commence à souffrir de bégaiement, à partir de l'âge de 8 ans. "Le bégaiement, c'est un échec intime, jour après jour recommencé." Il surmonte son handicap en faisant la paix avec ses secrets d'enfant, en se tournant vers les autres au lieu de rester bloqué sur lui, en choisissant d'aller de l'avant. Le biographe d'Henri IV évoque un Radioscopie (1973) de Jacques Chancel où Jacques Brel s'exprimait sur son physique. L'interprète de Ces gens-là avouait : "On s'aperçoit très vite, quand on n'est pas beau, que l'intérêt qu'on peut avoir n'est pas en soi mais dans le mouvement que l'on peut éventuellement avoir." Le bégaiement a poussé François Bayrou à sortir de lui-même. Il choisira face à une douleur, un échec électoral, une faille, le mouvement.

"Il y a un grondement et les canines sortent"

Le père meurt accidentellement, en 1974, alors que le fils est âgé de 22 ans. "Quand mon père s'est tué, j'ai repris l'exploitation agricole, et c'était par haine de la mort. Je voulais que la vie continue, au-delà de la mort." Le fils de paysans réussit l'agrégation de lettres classiques, un mois après le drame familial. "Je viens d'un milieu social qui n'était pas considéré, qui n'avait pas la considération qu'il méritait. L'agrégation a apaisé ce sentiment de ségrégation sociale. J'étais jeune et je me disais, à tort ou à raison, que dans mon métier, grâce à cet "agrégé de l'université" qui me sert encore de viatique, plus personne ne pourrait me regarder de haut. L'agrégation a sonné la fin de cette crainte de la condescendance.

Même si je n'ai jamais été enclin à baisser la tête devant qui que ce soit." François Bayrou avance qu'il a bénéficié de trop de chance pour endosser le manteau de la pure méritocratie. Il va accéder aux plus hautes responsabilités pour devenir l'incarnation politique du centre en France. Échec lors des trois dernières élections présidentielles, échec deux fois aux élections municipales paloises, échec en 2012 lors des élections législatives. Il est élu maire de Pau lors des élections municipales de 2014. La défaite à l'élection présidentielle de 2012 a été impitoyable. Il arrive seulement cinquième et a appelé à voter François Hollande. L'électorat du centre droit fuit.

François Bayrou dit qu'il vaut mieux perdre en restant fidèle à ses combats que gagner en trahissant ses idéaux. "J'avais fait un choix sur des repères moraux et civiques qui ont quelque chose d'absolu. J'avais mené le combat à visage découvert contre les dérives du quinquennat précédent, en les analysant dans Abus de pouvoir. Si je n'avais pas été jusqu'au bout de mon combat, j'aurais été infidèle à mes convictions, à ceux qui me faisaient confiance, par exemple, mes enfants." Les médias ont prédit sa mort politique à de nombreuses reprises. "Les sondages montent, alors la meute est séduite, elle se roule devant vous pour que vous lui grattiez le ventre mais, à la première goutte de sang, c'est l'instinct, il y a un grondement et les canines sortent. C'est éprouvant mais cela ne ruine pas ma vie. Le véritable échec serait quelque chose qui porterait atteinte au sens de ma vie." François Bayrou pourrait écrire aux commentateurs politiques, comme Mark Twain au journal qui avait annoncé sa mort, "Nouvelle de mon décès fortement exagérée".

"Une ivresse qui vous fait perdre l'équilibre"

Les échecs électoraux font partie de la vie politique. Il tente de ne pas les transformer en blessures narcissiques. François Bayrou s'est seulement senti vaciller face à l'anorexie d'une de ses filles, alors qu'elle était enfant ; face à une rupture amicale avec un ami de jeunesse, Claude Goasguen ; face à un accident qui aurait pu le laisser tétraplégique ; face à son bégaiement, qui peut revenir. Il a pleuré à la lecture d'un message de sa fille, lorsque les sondages de 2007 le rendaient qualifiable pour le second tour, lui faisant prendre conscience de la rapidité de l'ascension. On perd ou on gagne avec sa famille, en politique. L'épreuve est, aussi, pour les siens.

Il a pu observer maints hommes se noyer dans les apparats du pouvoir. "Le succès est dangereux. C'est un alcool d'autant plus puissant qu'il n'est pas détectable. Je tiens bien l'alcool, en général. Sauf un, le limoncello : au goût, c'est presque un jus de fruit sucré, un peu corsé et, boum, cela vous cisaille les jambes. Le succès est comme le limoncello : tout va bien, vous êtes content, les meutes ont des yeux de velours, et insensiblement vous basculez du côté de l'ivresse. Les Grecs emploient le mot d'hubris, une perte de contrôle, une démesure, en fait, c'est de cela qu'ils parlent : une ivresse qui vous fait perdre l'équilibre. Et pour eux, c'est par là que se déclenchent les tragédies".

François Bayrou a peu d'humour sur lui-même et ne cherche pas à en avoir. Il déteste le sarcasme, l'ironie, la dérision. Il répète : on en prend plein la gueule et, en plus, il faudrait dire merci. On lui reproche son orgueil de fer, son ego surdimensionné, son ambition présidentielle. "Il faut choisir d'être du côté du grand plutôt que du côté du petit. Grands idéaux, grandes batailles, grandes défaites, s'il le faut. Je n'aime pas les gens qui se vendent, et qui, si souvent, se vendent pour pas cher." Il a refusé deux fois la Légion d'honneur. Il tient à combattre ses adversaires sans bassesse et à respecter les laissés-pour-compte de la vie. Son milieu social modeste lui a appris qu'on n'a pas forcément ce qu'on mérite. "Je ne fais pas partie de ceux qui pensent que les inégalités sont naturelles. Personne n'est à l'abri d'une malchance, d'un mauvais tournant, d'une maladie."

L'homme de la troisième voie a tissé sa légende : l'emblème du tracteur, la gifle à un gamin lui faisant les poches, la fidélité au monde paysan. L'obsession de l'argent et le recours aux conseillers en communication lui sont étrangers. Il partage sa vie entre Bordères et Paris. François Bayrou est père de six enfants. Ils sont tous surdiplômés. Une de ses filles a été reçue à Polytechnique en 1994, alors qu'il était ministre de l'Éducation. "Le plus beau de mes succès, c'est l'amour que mes enfants se portent entre eux." François Bayrou occupe une place à part dans le paysage politique français, souverainiste et européen, intellectuel et pragmatique, catholique et laïc, mais une telle place existe-t-elle? Il se tient éloigné de toute forme d'excès. Sa vision reste inchangée : le président de la République ne doit pas s'abaisser à faire de la politique mais il doit s'inscrire dans l'Histoire vivante.

La fameuse phrase de Jean-Louis Borloo

Ses traversées du désert n'ont pas amoindri son amour de la vie. "Les succès et les échecs sont nécessaires à la construction d'un homme. C'est comme les fils de trame et de chaîne dans le tissu. Il faut des fils verticaux et des fils horizontaux pour fabriquer un tissu. Il faut de l'ombre et de la lumière pour peindre le portrait d'un homme." François Bayrou n'a pas tout donné à la politique et mène plusieurs existences parallèles. Son aventure familiale, son goût pour la nature, son engagement politique, son amour de la littérature. Quand son père est mort, il a voulu que la vie persiste. Le monde politique, tel qu'il l'a tant combattu, est en train de s'écrouler.

Ceux qui connaissent François Bayrou répètent, sur tous les tons, la fameuse phrase de Jean-Louis Borloo à son propos, tant elle est juste : "Il préfère avoir raison que gagner." Le président du MoDem voudrait avoir raison et gagner. L'homme aime se recueillir, dans la solitude, mais la vie l'a forcé à choisir le mouvement. On moque son côté illuminé. Son pragmatisme et son humanisme le constituent à part. C'est justement là où il veut être : à part. François Bayrou continue de s'arrêter sur les tombes des Cohen pour méditer sur les deux mains bénisseuses, signes de protection. Le succès est dans le chemin et non dans le destin.

La semaine prochaine: Olivier Roellinger

Ensuite, dans l'hebdomadaire Valeurs Actuelles de jeudi dernier...

 

A la veille du mois d'août, des nouvelles de Bayrou...
A la veille du mois d'août, des nouvelles de Bayrou...

Et puis, sur le site d'information Atlantico du dimanche 20 juillet...

 

Le maire de Pau et président du MoDem se montre très critique envers la politique de François Hollande, mais ne regrette pas ses attaques passées contre Nicolas Sarkozy, au nom de ses "responsabilités" de citoyen de dénoncer des "dérives qui menaçaient notre pays".

Effet d'optique
Publié le  - Mis à jour le 22 Juillet 2014Je m'abon
  •  
Considéreriez-vous l’exclusion du budget de la Défense au sens du déficit de Maastricht ? 
Cela ne serait pas absurde. Car cette capacité de défense est en notre nom mais elle est aussi en nom des autres Etats européens. Nous ne sommes pas seuls. Notre doctrine d’intervention inclut, dans les intérêts vitaux du pays, les intérêts vitaux de l’ensemble européen auquel nous appartenons. A juste titre. 
Vous vous placez dorénavant clairement dans l'opposition. Au-delà des affaires qui plombent l'UMP, comme Bygmalion, sur le terrain des idées, quelle part de responsabilité estimez-vous porter dans le fait que l'opposition soit complètement inaudible ?
 

Aucune. Je me suis battu sans cesse pour que la France se ressaisisse et que le centre soit un acteur majeur de ce ressaisissement. J’ai vu venir très tôt les dérives qui s’étalent aujourd’hui en première page de tous les journaux. Je ne me suis pas contenté de les voir venir, j’ai écrit un livre qui s’appelait Abus de Pouvoir qui en était l’analyse clinique et engagée. Parce que j’ai une responsabilité civique, comme tout citoyen français. Et cette responsabilité je l’exerce. Je fais aujourd’hui moins de déclarations virulentes à l’égard de Nicolas Sarkozy que n’en font ses propres amis. Je me battais contre ce que je voyais d’inacceptable alors qu’il était au sommet, adulé de tous. C’est plus difficile, mais c’est plus juste.

J’ai pris mes responsabilités, parce que je pensais que ces dérives menaçaient notre pays sur deux points principaux. Le premier est que Nicolas Sarkozy et ceux qui l’entourent avaient fait du clivage perpétuel et de la montée des passions des Français les uns contre les autres un carburant pour leur puissance politique. Division et exaspération des divisions. Alors que pour moi, qui suis profondément unitariste quand je pense à mon pays, je pense que le devoir des dirigeants est de rassembler. Un dirigeant qui divise est un dirigeant qui affaiblit.

La deuxième raison est qu’au travers de nombreuses affaires, il était  clair pour moi que le pouvoir de cette époque avait pour pratique constante de prendre toute liberté avec la loi et ses principes. La loi et les principes, c’était pour les autres. Pour eux, la fin justifiait les moyens. Or je pense que la grande ligne de clivage de la politique est entre ceux qui pensent que la fin justifie les moyens et ceux qui pensent, au contraire, comme Ghandi que « La fin est dans les moyens comme l’arbre est dans la graine ». Il y a une unité substantielle entre la fin et les moyens. Et ceci crée deux comportements politiques. C’est pour cette raison là que j’ai fait le choix de l’alternance. Après, est ce que François Hollande a été ce qu’il aurait dû être, c’est autre chose. Et évidemment la réponse est non.

 
En 2012, vous avez voté pour François Hollande. Au regard du bilan qui est le sien, comprenez-vous ceux que cela pourrait faire douter de votre clairvoyance ? 

Ce qui était en jeu était beaucoup plus important encore qu’une question de programme. Imaginez-vous où nous en serions aujourd’hui, avec l’explosion des affaires, si l’issue du scrutin avait été différente ! Avec ce que nous avons appris de Bygmalion et de l’effarante explosion des comptes de campagne, où en serions-nous ? Imaginez le climat dans le pays, les manifestations, et la gauche qui triompherait en prétendant détenir les clés et les solutions de l’avenir. Aujourd’hui, les illusions sont enterrées et les scandales conjurés. La vérité apparaît enfin ! Il y a des moments où il faut avoir le courage, même seul contre tous, de prendre des décisions cruciales. Mais ce qui est terrible dans cette prise de responsabilité, c’est qu’elle a été solitaire. 

Récemment, un éditorial du Figaro posait une bonne question : « Pourquoi tous ceux qui critiquent Sarkozy aujourd’hui dans son camp ne l’ont-ils pas critiqué lorsqu’il était au pouvoir ? Comment n’ont-ils rien dit si les choses étaient si graves qu’ils l’affirment aujourd’hui ? Et comment imaginer qu’ils aient pu ne rien savoir, étant données les responsabilités qu’ils exerçaient ?  » Etre citoyen c’est prendre ses responsabilités, même seul. J’ai fait cette expérience de solitude et je ne le regrette pas. 

Vous avez déclaré que Nicolas Sarkozy ne pouvait pas être le rassembleur de la droite. Comment expliquez-vous qu'il garde une telle audience auprès des sympathisants UMP ? Qui d'autre à l'UMP pourrait jouer ce rôle ? Par ailleurs, étant donnée la tendance à la radicalisation de l'électorat de droite, est-ce imaginable que celui qui portera la voix de la droite ne soit pas issu de l'UMP ?

Je ne crois pas que l’UMP soit un alliage durable. Je ne l’ai jamais cru. Je suis allé déclarer mon scepticisme le jour de la fondation du mouvement à Toulouse, parce que « le parti unique de la droite et du centre », c’est une illusion.  Vous savez ce qu’est une émulsion en physique. Vous avez beau agiter le mélange, l’huile et l’eau ne se marient jamais vraiment et finissent toujours par se séparer. Il y a deux  sensibilités politiques au sein de l’UMP, et ces deux sensibilités ne croient pas les mêmes choses, n’ont pas la même vision ni les mêmes valeurs. Et d’ailleurs, que chacun soit fidèle à ce qu’il est, c’est cela qui est la vérité, c’est cela après tout qui est estimable et noble. 

Nicolas Sarkozy est évidemment favori dans sa reconquête de la droite. D’abord parce qu’il ne trouvera jamais un corps électoral aussi favorable que les adhérents de l’UMP au 30 juin 2014. C’est le meilleur corps électoral imaginable pour lui. Deux options au choix : soit il prend l’UMP, soit il crée un parti nouveau, ce qui l’exonère au passage de 80 millions de dettes. Je ne vois personne capable de le devancer dans l’état actuel de la droite et je ne vois personne capable de fédérer cet ensemble disparate. J’entends des candidats réclamer une génération nouvelle. J’avoue être sceptique face à la théorie des générations. Je me souviens assez bien de ce discours que tenait Rocard face à Mitterrand, trois ans avant 1981 !... Je crois aux personnalités denses. Nicolas Sarkozy, avec qui je suis si souvent en confrontation, est une personnalité dense, Alain Juppé est une personnalité dense, et François Fillon est également en piste. Qui d’autre ? Pour être dense, il faut traverser des événements un peu lourds. Il faut être capable de s’extraire du conformisme ambiant. Et il faut accepter de prendre des risques. On verra qui est capable de le faire.

Seriez-vous capable de travailler avec Nicolas Sarkozy sur une ligne politique déterminée ?

La ligne politique, la conception du pays et de la société, c’est précisément cela la question. Nicolas Sarkozy a porté une vision politique et des « valeurs » qui, jusqu’à maintenant, sur des points essentiels, ont été le contraire des celles auxquelles je crois du plus profond de mi-même. 

Comment à droite parvenir à recréer la synthèse qui n'a aujourd'hui plus cours entre conservatisme et libéralisme ?

Ce sont des catégories qui sont aujourd’hui fort discutables. Conserver quoi ? Les institutions ? Il faut les réformer. L’éducation nationale ? On n’en est plus à conserver, il faut reconstruire à partir de valeurs, qui certes, ont été des valeurs républicaines très soutenues par l’école et qui ne le sont plus du tout aujourd’hui.  Mais il ne s’agit en aucun cas de conservatisme. S’il s’agit de l’économie, je ne sais pas ce que conservatisme veut dire. 

Pour le libéralisme, c’est un sujet très problématique pour la France. Ce que la France appelle libéralisme, et qui crée une polémique énorme dans notre pays, c’est la gauche dans d’autres pays. Aux Etats Unis, être libéral c’est être à gauche, en France être libéral cela veut dire être très à droite, et on ne comprend pas pourquoi. 

Si on en revient aux fondamentaux, le Parti Démocrate Européen que je préside siège au sein d’une alliance avec les libéraux européens. Démocrates et libéraux appartiennent au même groupe pour peser ensemble au centre de la vie politique européenne autant qu’il est possible. 

Je ne crois pas à l’étatisme. Est-ce que l’énergie économique d’un pays peut être décidée du sommet ? Je ne le crois pas. Je pense que l’économie, la vie, la créativité c’est « Que 1000 fleurs s’épanouissent ! ».  Le devoir de l’état est de créer un biotope à partir duquel ces 1000 fleurs puissent s’épanouir. Mais la somme des intérêts particuliers ne fait pas l’intérêt général. Il y a une responsabilité de l’État, particulièrement en France, qui n’a pas  été exercée ces 15 dernières années, et qui est de veiller aux grandes orientations stratégiques. L’État, par exemple, s’est fait le complice d’une idéologie de liquidation de plusieurs grands secteurs de production, ou en tout cas a été indifférent à leur liquidation. Il a été complice de l’idéologie qui prétendait qu’il n’y avait pas de différence structurelle entre les services d’un côté, la banque, l’assurance, et d’un autre côté la production, l’industrie ou l’agriculture. 

Or il arrive un moment où une société qui se détourne de la production, du moins des grands secteurs de production, ne peut plus défendre son contrat social !

Un exemple tout bête. Nous vivons et allons vivre de plus en plus dans un monde d’écrans, du smartphone à l’ordinateur portable, de la télévision à l’écran géant. Immense marché chez nous, immense marché mondial. Or plus un seul de ces écrans n’est fabriqué en Europe ! Plus un ! Et ce n’est nullement une question de coût du travail : le prix du travail est marginal dans un écran. Nous avons laissé partir toute la technologie, la capacité d’inventer, la maîtrise du produit, le design, l’investissement… et ceci est une faute qui relève des politiques. Je ne dis pas qu’il ne faut pas accepter la concurrence, elle est positive, mais les politiques ont un devoir de stratégie. En laissant faire les acteurs économiques sur leurs propres capacités de décision, d’appréciation et de retour sur investissement, jamais une filière ne sera défendue. Il faut une vision claire et une capacité d’entraîner, tout en n’étant pas dans la caricature.

Je crois à la liberté nécessaire à l’invention, à la création, et je crois à la responsabilité d’un État capable de fédérer, d’entraîner, de penser le long terme et les grands équilibres

Et enfin, dans le Magazine mensuel Causeur...

 

 

A la veille du mois d'août, des nouvelles de Bayrou...
A la veille du mois d'août, des nouvelles de Bayrou...
A la veille du mois d'août, des nouvelles de Bayrou...
A la veille du mois d'août, des nouvelles de Bayrou...
A la veille du mois d'août, des nouvelles de Bayrou...
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28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 10:43

Oui, vendredi, le 1er août, je publierai ici de nouvelles photos-souvenirs des animations proposées aux enfants par le MIG dans le Parc de la Mairie durant tout ce mois de juillet... En attendant, voici le compte-rendu de L'Est Républicain de ce matin au sujet de notre course vélo contre la montre du jeudi 24 juillet...

Vendredi, ici, bilan et photos des jeux de juillet...
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22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 00:00
Dans L'Est Républicain du lundi 21 juillet 2014...
Dans L'Est Républicain du lundi 21 juillet 2014...
Dans L'Est Républicain du lundi 21 juillet 2014...

Dans L'Est Républicain du lundi 21 juillet 2014...

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21 juillet 2014 1 21 /07 /juillet /2014 15:05
Patience les petits, Maxéville-Plage revient mercredi

Les animations d'été du MIG dans le Parc de la Mairie étant dépendantes de la météo, et vu les annonces de pluie, nous ne sortirons pas les jeux ce lundi ni ce mardi après-midi... Rendez-vous donc mercredi, à partir de 15 heures, où les conditions climatiques devraient être meilleures et permettre aux enfants de "s'éclater".

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21 juillet 2014 1 21 /07 /juillet /2014 00:00
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (21)

Fin de ce sympathique voyage qui nous a rappellé, en 21 épisodes, nos tendres souvenirs des années 60... Nous allons faire un nouveau plein d'essence pour repartir lundi prochain encore plus loin, à la découverte d'un viel almanach Hachette de l'année 1924, retrouvé dans les affaires de mes parents et intitulé : "Petite Encyclopédie Populaire de la Vie Pratique"... Ue mine d'or, un vrai trésor, vous verrrez... A lundi prochain !...

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 00:00
Clémentine Delait, la femme à barbe des Vosges...
... article publié dans L'Est Républicain du mardi 8 juillet 2014...

... article publié dans L'Est Républicain du mardi 8 juillet 2014...

J'ai retrouvé dans les cartons de mes parents ces deux vieilles cartes postales tamponnées par la femme à barbe elle-même...

J'ai retrouvé dans les cartons de mes parents ces deux vieilles cartes postales tamponnées par la femme à barbe elle-même...

Clémentine Delait, la femme à barbe des Vosges...
Clémentine Delait, la femme à barbe des Vosges...
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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 10:11
Maxéville: dimanche pluvieux, 13 juillet malheureux

Hier, à Maxéville, pour les festivités du 14 juillet, ce fut vraiment la cata... En haut comme en bas, les Maxévillois ont préféré rester chez eux, allez savoir pourquoi, peut-être à cause de la Finale de la Coupe du Monde à la télé, ou à cause du mauvais temps, ou à cause d'un programme pas assez alléchant ?...

Maxéville: dimanche pluvieux, 13 juillet malheureux

Tout avait commencé à 15h00, dans le Parc de la Mairie... Il y avait un soleil radieux... Avec mes collègues du MIG, on avait commencé à installer nos jeux: il était prévu de sortir nos deux buts de foot, notre nouveau jeu de badminton, nos raquettes de ping-pong et les jeux en bois de l'ami Jean-Jacques Petiteville... Quand une première grosse averse nous tomba sur le nez et ruina tous nos rêves d'animer le Parc de la Mairie... Les quelques jeunes qui étaient venus disparurent très vite sous la pluie... Notre dimanche après-midi était cuit...

Maxéville: dimanche pluvieux, 13 juillet malheureux

A 19h00, il y eut une accalmie... On se dit, bon, maintenant, les gens vont venir déguster les saucisses et les frites préparées amoureusement par l'équipe des Petits Débrouillards et danser sur la piste en bois au rythme des musiques sixties et rock  jouées magistralement par l'orchestre des BlackBurns... Que nenni !...

Maxéville: dimanche pluvieux, 13 juillet malheureux

Le Parc resta pour ainsi dire désertique... Peu de monde à la restauration, peu de monde sur la piste de danse... Des amis m'ont dit que c'était aussi un peu pareil au Champ le Boeuf... Heureusement qu'entre deux averses, il y eut ce merveilleux et détonant feu d'artifice qui réchauffa un peu les corps et les esprits... A noter, en haut et en bas, la visite de tables en tables du maire et de ses conseillers, contacts très sympas.

Maxéville: dimanche pluvieux, 13 juillet malheureux

Bon, et si maintenant on faisait un bilan ?... Outre le mauvais temps et le Mondial à la télé, pourquoi si peu de gens ?... Certains reprochent un manque de publicité, une annonce du 13 juillet trop discrète dans le Pimax et la presse, pas assez d'affiches et de tracts... D'autres regrettent qu'on ne fasse plus de bal musette, du bon vieux bal populaire comme autrefois... C'est vrai que lorsque j'ai organisé avec Radio-Caraïb en Mars dernier, à la salle des fêtes du Plateau de Haye, un thé dansant animé par 7 accordéonistes de renom (Claude Dontenwill, Patrice Laroppe, Camille Barthe, Fabien Houpert, Benoît Przybyla, José Quenet et Christian Erb), j'ai fait le plein, j'ai même refusé du monde, et c'était payant... Je crois que pour le 14 juillet, il faut refaire du musette, et du bon... Comme je suis persuadé que pour la soirée de la Fête des Fraises, il faut un spectacle de variétés et de music-hall, face à la restauration... Il nous faut retrouver une tonalité pour chaque fête, et je crois qu'à l'occasion de la Fête des Fraises et du 14 juillet, il nous faut du "populaire"...

Maxéville: dimanche pluvieux, 13 juillet malheureux

Enfin, d'aucuns ont posé cette question: pourquoi organiser deux bals, deux feux d'artifice, pourquoi ne pas proposer une seule soirée, une fois en haut, une fois en bas, ou mieux, pour ne froisser personne, rassembler tous les Maxévillois le même soir sur les bords de la Meurthe où l'on danserait tous ensemble au son de l'accordéon et d'où serait tiré le feu (pourquoi pas d'une péniche, comme je l'ai réalisé autrefois à Poissy ?)... Je sais, l'on va me lancer à la figure la situation financière de notre mairie... Mais on peut rêver !...

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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 00:05
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (20)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (20)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (20)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (20)
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13 juillet 2014 7 13 /07 /juillet /2014 10:52

"Dies Dominicus", comme on me l'a appris au petit séminaire de Renémont, lorsque j'y suivais notamment mes cours de latin... Le dimanche, pour les chrétiens, c'est le jour du Seigneur, OK, moi, je veux bien... Mais est-ce pour cela que je viens de trouver ce matin dans ma boîte aux lettres ce bien curieux document ?

Le dimanche, c'est le jour du Seigneur, mais bon...
Le dimanche, c'est le jour du Seigneur, mais bon...

Je ne savais pas qu'il existait à Maxéville, rue Jean Jaurès, ce genre de rassemblement: "Mission Chrétienne Vie Nouvelle"... Vous le saviez, vous ?... Qui sont ces braves gens ?... Est-ce une branche de l'Eglise Protestante et laquelle ?... En ce dimanche, j'aimerais bien recevoir quelques pieux éclaircissements...

En attendant, je vous laisse écouter ce joli cantique trouvé tout à l'heure sur YouTube... Allez, bon dimanche !

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 08:09
Totem (suite): Communiqué de Presse de la Mairie
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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 18:58
Le 7 mai dernier, je vous pariais ici que la chanson de ce groupe ivoirien allait devenir le tube de l'été... Elle n'en est pas loin.

Le 7 mai dernier, je vous pariais ici que la chanson de ce groupe ivoirien allait devenir le tube de l'été... Elle n'en est pas loin.

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 00:00
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (19)
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6 juillet 2014 7 06 /07 /juillet /2014 00:15
Hommage aux Poilus de la Grande Guerre de 14-18
Hommage aux Poilus de la Grande Guerre de 14-18
Hommage aux Poilus de la Grande Guerre de 14-18
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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 00:15
Dictons du jardinier amateur pour ce mois de juillet
Dictons du jardinier amateur pour ce mois de juillet
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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:14
Sacré Stanislas, "le roi philosophe"... "Stanislas le bienfaisant"... 250 ans après son arrivée difficile et contestée à Nancy, le voici en maillot jaune, maillot bien mérité, après tout ce qu'il a fait pour Nancy et la Lorraine... Pas pareil pour ce qui suit...
Sacré Stanislas, "le roi philosophe"... "Stanislas le bienfaisant"... 250 ans après son arrivée difficile et contestée à Nancy, le voici en maillot jaune, maillot bien mérité, après tout ce qu'il a fait pour Nancy et la Lorraine... Pas pareil pour ce qui suit...
Sacré Stanislas, "le roi philosophe"... "Stanislas le bienfaisant"... 250 ans après son arrivée difficile et contestée à Nancy, le voici en maillot jaune, maillot bien mérité, après tout ce qu'il a fait pour Nancy et la Lorraine... Pas pareil pour ce qui suit...

Sacré Stanislas, "le roi philosophe"... "Stanislas le bienfaisant"... 250 ans après son arrivée difficile et contestée à Nancy, le voici en maillot jaune, maillot bien mérité, après tout ce qu'il a fait pour Nancy et la Lorraine... Pas pareil pour ce qui suit...

Il n'existe pas sur le Tour de France de maillot particulier à remettre au coureur et à l'équipe les plus nuls de la course, et pourtant c'est bien ce genre de maillot que mériterait l'ancienne municipalité pour nous avoir laissé un tel bilan financier...
Il n'existe pas sur le Tour de France de maillot particulier à remettre au coureur et à l'équipe les plus nuls de la course, et pourtant c'est bien ce genre de maillot que mériterait l'ancienne municipalité pour nous avoir laissé un tel bilan financier...

Il n'existe pas sur le Tour de France de maillot particulier à remettre au coureur et à l'équipe les plus nuls de la course, et pourtant c'est bien ce genre de maillot que mériterait l'ancienne municipalité pour nous avoir laissé un tel bilan financier...

Nous ne féliciterons pas non plus les patrons de la "nouvelle" prison, celle de Nancy-Maxéville, sur le Plateau de Haye, patrons qui ne semblent pas prendre du tout en considération les nombreuses et répétitives revendications des "matons"...

Nous ne féliciterons pas non plus les patrons de la "nouvelle" prison, celle de Nancy-Maxéville, sur le Plateau de Haye, patrons qui ne semblent pas prendre du tout en considération les nombreuses et répétitives revendications des "matons"...

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30 juin 2014 1 30 /06 /juin /2014 10:27
Ateliers "Mieux communiquer" à la MJC Pichon...

Réunion de présentation le jeudi 03 juillet 2014 à 18h15 à la MJC Pichon à Nancy...
Plus de renseignements ici:    
http://langagecommun.canalblog.com/archives/2014/06/24/30133787.html


http://www.langage-commun.fr
http://www.facebook.com/langage.commun

Photo :©http://images.christinedb.fr

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30 juin 2014 1 30 /06 /juin /2014 00:00
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (18)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (18)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (18)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (18)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (18)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (18)
Souvenirs de nos tendres années, les années 60 (18)
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29 juin 2014 7 29 /06 /juin /2014 17:03
Marine Le Pen veut supprimer la double nationalité...

Marine Le Pen a demandé ce dimanche la suppression de la double nationalité en France, jugeant que les incidents après la qualification de l'Algérie pour les 8ème de finale du Mondial de Foot jeudi soir prouvaient l'échec de l'immigration et de l'assimilation... (Sources de cette information: communiqué de l'AFP ce dimanche à 15h43 et site Le Monde.fr).

"Il faut maintenant mettre fin à la double nationalité" et "arrêter l'immigration", a déclaré la présidente du FN lors du Grand Rendez-vous "Europe 1 - i>TELE - Le Monde".

Comme on lui demandait quelle équipe elle soutiendrait lors du 8ème de finale Allemagne-Algérie lundi, Mme Le Pen a avoué ne pas être "une passionnée de football". "Dans ces grandes compétitions, j'essaye d'avoir l'esprit patriote, si j'avais quelqu'un à soutenir, je soutiendrais la France".

Mais à ses yeux, "les responsables politiques ne sont pas là pour commenter le football"... "Ce qui m'importe plus, ce sont les conséquences des matches joués par l'Algérie sur la situation de mes compatriotes".

Elle a trouvé "éminemment choquants" les incidents de la nuit de jeudi à vendredi, qui ont entraîné au moins 74 interpellations, accusant les médias de les avoir "passés sous silence".

Lundi soir pour Algérie-Allemagne, "nous allons aligner dans les rues françaises des dispositifs de police aussi importants que le 14 juillet", s'est indignée la dirigeante du parti d'extrême droite - qualificatif d'extrême-droite qu'elle conteste.

"C'est la démonstration de l'échec total de la politique de l'immigration dans notre pays, le refus exprimé par un certain nombre de binationaux de l'assimilation à laquelle je suis particulièrement attachée".

"C'est clairement la volonté de la part d'un nombre non négligeable d'exhiber leur choix de l'Algérie plutôt que de la France", a poursuivi l'eurodéputée.

Donc à ses yeux, "il faut maintenant mettre fin à la double nationalité. Il faut choisir, on est algérien ou français, marocain ou français, mais on ne peut pas être les deux".

"Il faut que l'Etat retrouve son autorité", a-t-elle demandé. "Il n'y a pas un pays au monde qui accepterait de subir ce que nous subissons sur notre territoire".

Comme on lui demandait si le Ramadan allait calmer les esprits, elle s'est insurgée: "Il faut que nous attendions de subir, comme on fait la danse de la pluie, pour espérer que le Ramadan va régler le problème de la multiplication récurrente des agressions, des atteintes lors des matches de football de l'Algérie?"

"Non, c'est à l'Etat de régler, il faut supprimer la double nationalité, il faut arrêter l'immigration", a-t-elle insisté en citant le chiffre de 800.000 inscrits en France pour les élections algériennes...  "Il faut supprimer l'acquisition de la nationalité automatique au motif qu'on naît sur le territoire français".

Marine Le Pen veut supprimer la double nationalité...

Dénonçant une instrumentalisation, SOS Racisme a estimé qu'il était "aussi aberrant que grotesque, aussi dangereux qu'inquiétant de monter en épingle les mouvements qu'ont engendré ces victoires et de construire ce récit scandaleux à partir des agissements de quelques supporteurs isolés". Dans un communiqué, l'association SOS Racisme "rappelle à la leader frontiste que la plupart de ces supporters sont français"...

Marine Le Pen veut supprimer la double nationalité...Marine Le Pen veut supprimer la double nationalité...

Et vous, qu'en pensez-vous ?... Etes-vous choqués par cette position, cette proposition de Marine Le Pen ?... Où trouvez-vous qu'il y a un peu de vrai dans tout ça et qu'il faudrait faire le point sur ce sujet très délicat ?.

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29 juin 2014 7 29 /06 /juin /2014 00:15
L'histoire de la guerre de 14/18 au pays du Donon
L'histoire de la guerre de 14/18 au pays du Donon
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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 11:14
L'avis d'un lecteur sur la situation des ROMS...
En page "Dialogue" dans L'Est Républicain de ce matin...

En page "Dialogue" dans L'Est Républicain de ce matin...

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 10:45
A la  "Une"  du supplément  "Sports"  de  L'Est Républicain  de ce matin...

A la "Une" du supplément "Sports" de L'Est Républicain de ce matin...

Un nouvel élan, alors, ça ne vous rappelle rien ?... J'espère que ce slogan portera autant chance à notre équipe de France, là-bas, sur les terrains de foot du Brésil, qu'il en a porté ici à Maxéville à la nouvelle équipe qui a gagné la Mairie en mars dernier en prônant... "Un Nouvel Elan"... "Ensemble et Autrement"...

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 10:19
Dans L'Est Républicain de ce matin...

Dans L'Est Républicain de ce matin...

Et si Laurent Hénart devenait le nouveau leader du Centre, un centre indépendant, après Bayrou et Borloo

Du sang neuf pour relancer un vrai Centre, uni et indépendant, ça ne serait pas pour me déplaire... Bayrou et Borloo ont fait leur temps...et "la France doit être dirigée au Centre", comme le disait Valéry Giscard d'Estaing.

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Le grain de sel de Max'Dany

Coucou, voici déjà le mois d'août... Une bonne occasion pour nous rappeler la chanson de Ray Ventura... "Si jamais une coquette Vous demande un jour Quelle saison est la plus chouette Pour  rêver d'amour Ne dites pas qu'la meilleure date C'est mars ou fin septembre L'époque la plus adéquate C'est celle que chantent les chattes A la mi-août C'est tellement plus romantique A la mi-août On fera les quatre cents coups A la mi-août Tous les coeurs sont en pique-nique A la mi-août Les filles n'ont pas peur du loup Et si la belle vous dit soudain J'adore les fourrures Quand donc aurais-je mon ragondin ? Chantez d'un air badin A la mi-août C'est bien plus économique A la mi-août Y'a d'la joie pour les matous"

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Le point de vue du Raton Laveur

Elle est chouette et rigolote, cette chanson de Ray Ventura que nous rappelle le patron... Pour les deux autres couplets, je prends sa succession... "Je m'souviens lorsque naguère J'ai passé mon bac Comme j'étais pas une lumière J'avais plutôt l'trac Le prof d'histoire me demande Quand donc est né l'shah d'Perse ? Dès l'instant qu'on parlait du shah J'ai dit: eh bien voilà ! A la mi-août Y'a d'la joie pour les matous A la mi-août On se sent plus dynamique A la mi-août On s'amuse comme des fous. Je connais une Auvergnate qui aime un bougnat Quand elle dit: A bas les pattes Il s'écrie Fouchtra Quand ch'est-y que tu me donn'ras Tout ché que tu pochèdes ? Pour l'inchtant répond-elle au gars Y'est pas quechtion de cha A la Mi-août Che chera plus romantique On fera les quatre cents coups A la mi-août On che chent plus dynamique A la mi-août On ch'amuse comme des fous"...

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La bulle des poissons rouges

Merci patron de nous laisser, à nous les poissons, le soin de chanter le dernier refrain... "Dans la plupart des guinguettes On n'a pas le choix C'est toujours de l'omelette Ou bien du veau froid Et si l'on demande au patron Quand ferez-vous une gibelotte ? Souvent d'un petit air fripon Le patron vous répond A la mi-août C'est beaucoup plus romantique A la mi-août Y'a d'la joie pour les matous A la mi-août Tous les coeurs sont en pique-nique A la mi-août Les filles n'ont pas peur du loup A la mi-août  A la mi-a mi-a mi-a mi-a mi-a-oût"...

Boite aux Citations du Patron

"Ce que le mois d'août ne mûrira pas, ce n'est pas septembre qui le fera"...

A noter sur votre Agenda

Nos ateliers MiG'Art et MiG'Encadrement seront fermés en juillet et en août, ils reprendront le jeudi 11 septembre... Nous organiserons un hommage au Père Duval, autour de ses chansons et d'un feu de camp, le samedi 30 août dans le Parc de la Mairie... Notez aussi notre Vide-Greniers des Enfants le samedi 27 septembre après-midi... Un concert orgue et trompette en prévision... Une visite guidée de l'ancienne Abbaye St Clément de Metz devenue le siège du Conseil Régional de Lorraine, le jeudi 9 octobre après-midi... Notre Marché de Noël à la Salle du Parc les 29 et 30 novembre... et plein d'autres surprises...avec le MIG... Max'Inter-Générations...

Indiscrétions du webmaster

Bonnes vacances, si vous pouvez en prendre, sinon, bon été à tous, et merci de rester fidèles au Blog de Max'Dany qui essaye de toujours mieux vous distraire, vous être utile et surtout, vous informer...

Vous vous posez des questions

Ben oui, quoi, dans les rubriques du dessus, vous citez une chanson de Ray Ventura... OK, mais qui c'est, celui-là ?... Alors voilà... Ray Ventura (par ailleurs, l'oncle de feu Sacha Distel) est un célèbre chef d'orchestre amoureux de jazz qui, avec ses "Collégiens" de musiciens et de chanteurs, ont enchanté le public des années d'avant guerre, disons les années 1930/1940... Avec d'énormes succès tels que "Tout va très bien Madame la Marquise"... "Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?"... et "ça vaut mieux que d'attraper la scarlatine"... Ben voilà, maintenant, vous connaissez mieux Ray Ventura ( 1908-1979)...